
Depuis plusieurs semaines me trotte dans la tête le titre de cette pièce d’un autre temps (que, pour être honnête, je n’ai jamais lue) : « La ville dont le prince est un enfant ». En cherchant sur Google, je trouve ce passage de l’Ecclésiaste : « Malheur à toi, terre dont le roi est un enfant, et dont les princes mangent dès le matin. »
Dans la configuration de cette Nouvelle Lune Balance, Uranus qui s’achemine doucement vers la fin de son périple en signe de Terre, trigone à Pluton, fait résonner cette sentence. La tension de rébellion est forte et le risque d’éruption menace. Les peuples font l’amer constat de leur impuissance à se faire entendre, et leurs dirigeants brandissent des menaces dignes de gamins dans une cour de récréation… sauf que les gamins ont entre les mains des armes de destruction massive.
Sûr que, confronté à une telle immaturité affective, le petit vénusien avec son coeur sur la main et une valise diplomatique dans l’autre, se sent très très TRÈS seul dans cette cour de récré…
Ce mercredi 2 octobre (dans la soirée pour la France métropolitaine), la Nouvelle Lune en Balance, conjointe à Mercure et aux Lunes Noires, ouvre un questionnement fondamental quant à nos relations. Sommes-nous des « mendiants de l’amour » ? Des « victimes de l’amour » ? Des « contrôlants de l’amour » ? Des « évitants de l’amour » ?!
Cela parle évidemment du couple, mais aussi des relations au sens large : comment chacun se positionne face à l’autre, et comment on interagit.
Le carré de la Lune + Mercure à Mars Cancer laisse présager des tensions réactivant des blessures d’enfance, d’autant que le Noeud Sud est conjoint à l’amas en Balance : une hérédité karmique qui dépasse l'individu et sa présente incarnation. On peut le constater au plan international depuis un moment, mais voyons déjà en quoi cela nous impacte sur le plan individuel où il est tentant de considérer le partenaire comme un ennemi.
Au-delà de notre personne, le trans-générationnel est d’actualité : l’arbre généalogique, déjà bien sollicité ces derniers temps, est réactivé. Les mémoires familiales tambourinent à la porte et si on ne répond pas, elles pourraient bien forcer l’entrée ! (Noeud Sud sesqui-carré à Uranus)
Alors qu’à l’orée de l’automne nous mettions notre élan vital dans la protection de notre intimité et l’harmonisation de notre « home sweet home », nous voilà bousculé/e dans notre besoin fondamental de sécurité.
En signe d’Air, Soleil Lune et Mercure conjoints incitent à se poser les bonnes questions. Certaines relations polluent-elles mon espace vital ? Est-ce que par peur du conflit, je me laisse envahir ? Est-ce qu’au prétexte de tolérance et de largesse d’esprit, je permets qu’on ne respecte pas mon jardin secret ?
Si jusque là on se sentait incapable de prendre une décision radicale, les aspects de Pluton rétro au Noeud Nord Bélier et à Uranus poussent désormais à le faire, et ce, quelles qu’en soient les conséquences. Avec cette deuxième éclipse s'ouvre la porte des possibles et Mercure conjoint à la Nouvelle Lune, après une longue rétrogradation, aide à communiquer ce qu'on a compris ces derniers temps.
Jusqu'où laisser l'autre pénétrer dans mon intimité au risque de mettre en péril mon intégrité ? Dans quelle mesure la relation m’aide-t-elle à grandir ? Cette vieille relation a-t-elle encore du sens ? Me tire-t-elle vers le bas ? Voilà quelques-unes des questions que Mercure, messager du Soleil Balance, nous oblige à nous poser. Il est temps d'en parler maintenant.
Car lors de cette Nouvelle Lune, l’enfant blessé qui somnole en chacun d'entre nous, fait ressurgir chagrins, abandons et autres abus que nous croyions enterrés. La sensibilité est à fleur de peau. Une simple remarque peut égratigner notre susceptibilité et, cette fois, on n’a pas forcément envie de sortir le calumet de la paix.
Depuis quelque temps, il est probable que douleurs ou conflits ancestraux se manifestent à travers nous, auxquels nous sommes identifié/e sans en avoir conscience - parfois même sans avoir connaissance des faits. Nous voulons défendre coûte que coûte notre famille, notre clan, notre patrie, émotionnellement dirigés par des mémoires qui ne sont pas nôtres en tant qu'individus. (Mars Cancer carré à Mercure, au Soleil et à la Lune.)

Heureusement un Grand Triangle d’Eau relie Mars Cancer, d’une part à Saturne Poissons qui poursuit le travail de reconstruction émotionnelle et spirituelle, et d'autre part à Vénus Scorpion, « patronne » de cette Pleine Lune.
Une patronne qui n’y va pas avec le dos de la cuillère ! Car si Vénus Scorpion peut se montrer intrusive et inquisitrice, angoissée et manipulatrice, elle n’en est pas moins magnétique, lucide et extrêmement intuitive. Elle joue au détective privé dans notre vie affective, notre rapport à l’argent et la valeur que nous nous accordons au travers des relations.
Impossible de la lui faire à l’envers ! Elle passe au laser le moindre détail de ce qui ne fonctionne pas, quitte à se montrer parano. Comme dans la fameuse pub, elle affirme : « Parce que je le vaux bien ! ». Mais cette relation vaut-elle le coup ? Quelles sont les intentions de l'autre ?
C'est elle qui nous suggère d’interroger les illusions que nous entretenons sur nos liens, amoureux, amicaux, ou socio-professionnels, tandis que la rétrogradation de Neptune (octave supérieure de Vénus) s'emploie à déliter des amitiés de longue date et dissoudre une vision idéalisée du couple.
Neptune apex d’un triangle mineur reliant les trans-saturniennes et en sesqui-carré décroissant avec Vénus : maître de l'amas Soleil Lune et Mercure, ramène à un principe de réalité très basique : tout déséquilibre ou non-réciprocité sont susceptibles de remettre en question l'authenticité du lien.
Le socle affectif sur lequel nos relations reposaient n’est plus d’actualité. C’est la Chanson de Prévert : « Et la mer efface sur le sable les pas des amants désunis… »
Lorsque les énergies ne sont plus compatibles, laisser partir l’autre est une preuve d’amour - tous les coachs bien intentionnés vous le diront ! Amour de soi-même a minima - sinon on se poserait en victime consentante. Respect de la liberté de chacun à se choisir. Amour du Vivant qui est impermanence, transformation, transmutation alchimique. L'éclipse va aider à lâcher ce qui n'est plus valide.
Accepter que nos chemins divergent parce que l’harmonie n’est plus au rendez-vous, est un premier pas vers l’authenticité. (Vénus Scorpion) L’énergie de la Balance étant conciliatrice par essence, elle nous incite à tout tenter pour sauver la relation. Mais lorsque l’équilibre n’est plus possible, on est bien forcé d'envisager la confrontation, éventuellement la rupture.
Or le Soleil Balance n’est pas à l'aise avec ça, la Lune encore moins. Conjoints à Lilith en Balance, c’est carrément l’horreur ! On craint déjà la nostalgie qui accompagnera l'absence. Mais on craint tout autant de perdre son individualité en se maintenant dans une relation non équilibrée. (Noeud Nord Bélier opposé à l'amas Balance)
La chanson suivante sera donc : « Comment te dire adieu » !!!
Pourra-t-on échapper au poème relou des « sanglots longs de l’automne » ?
Il va s’agir d'être honnête avec soi-même, dans la loyauté, et en prenant responsabilité de ses propres émotions (Saturne Poissons). Hors de question de balancer ses quatre vérités au partenaire, même si le carré Mars/Mercure nous y incite.
Gare aux projections et à l’agressivité ! Discussion ne signifie pas règlement de comptes. On n’est pas obligé/e de faire valdinguer la table des négociations ni de s’asseoir dessus, quoique de tels comportements soient pléthore actuellement un peu partout sur la planète. L’enfant blessé en chacun de nous est parfois dangereusement impulsif. Et pour peu qu’il ait un peu de pouvoir sur l'autre, il fera des ravages.
Mais la situation n’est plus tenable. Quelque chose en nous se révolte. On doit faire bouger les lignes. (sesqui-carré de l’amas en Balance à Uranus)
Les Lunes Noires Balance sont à la manoeuvre : Je refuse de me laisser drainer mon énergie par des vampires énergétiques, des relations toxiques et autres faux-semblants polis. J’ai compris que cela ne parviendrait jamais à combler mon manque abyssal de "l’Autre".
Cet Autre dont j’attendais qu’il comble mes insuffisantes et panse mes plaies, sachant pertinemment qu’il était illusoire de le croire. Cet Autre issu de l’inconscient collectif qui nous maintient dans une mesquine dépendance alors qu’on tend vers l’amour absolu. Ah ! Ces autres qui, effectivement, sont un enfer pour l'ego dès qu'ils nous renvoient à notre solitude ontologique…
Voilà ce que les Lunes Noires nous révèlent en Balance ces derniers temps. Des démons se réveillent dans les profondeurs de nos grandes peurs d’enfant esseulé, à la hauteur de nos belles aspirations déçues. Te souviens-tu de cet enfant ?…
Un enfant capable de faire n’importe quoi pour être aimé et reconnu - apprécié, au moins. Ce bébé consacrant son énergie à soulager le chagrin de sa mère et qui n’y parvenait pas. Le gamin à qui le "meilleur copain" a filé une raclée en remerciement de ses services. La gentille qui a intercédé auprès de la maîtresse pour un affabulateur. Le chevalier qui avait pensé trouver sa Princesse au Petit Pois et a découvert une vilaine sorcière… Tant de drames dans une cour de récré !
Abandon. Rejet. Trahison. Humiliation. Injustice. Et à l’arrivée : Dame Solitude, avec son nez crochu et ses dents acérées.
Reconnaître et accueillir l’enfant délaissé au fond de nous. Lui donner sa juste place. Ressentir de la gratitude pour l'instinct d’harmonisation relationnelle qu’il a manifesté, pour son art de la diplomatie et ses talents de conciliateur - si mal récompensés.
Avec les premiers frimas, les feuilles rousses et les marrons brillants jonchant trottoirs et jardins réveillent un chagrin de mioche tout seul dans le noir. Comme chantait Philippe Val du temps où il était poète : « un chagrin d’enfant, gros comme une guerre mondiale ». Ces blessures qu'on minimise et qui fabriquent les conflits des adultes, revanches impossibles des chefs d'États et des meneurs d'hommes, échecs compulsifs ou "victimite" obsessionnelle - la liste serait longue.
Et pourtant, l’inconfort de la vulnérabilité est seul gage d’authenticité. Une authenticité vénusienne sur laquelle nous allons pouvoir bâtir d’autres partenariats, d’autres amitiés, d’autres amours, mieux ajustés à celui/celle que nous sommes devenu/e au cours de ces dernières années.
Maintenant, stop ! Ça suffit ! On a grandi depuis le passage du Soleil en Cancer aux relents d'enfance et le tri/analyse de la Vierge ! On voit bien que la coupe est pleine et qu'on doit la vider, même si on ne sait pas comment on va la remplir à nouveau.
Il est possible d’expérimenter le "manque" comme une opportunité de se retrouver soi-même. L’amour-drogue n’est pas de l'Amour. Es-tu toxico de l’amooouuur ?! susurre ce coquin de Mercure en écho à Vénus sesqui-carré à Neptune.
Notre aspiration à un "Amour plus grand que soi" est sans limite, répond la Licorne. À un monde sans guerres. À la Beauté sanctifiée. Or les relations humaines sont tellement limitées, décevantes et instables.
OK c’est la vie, se dit-on. Mais ça fait toujours aussi mal - qu'on se l'avoue ou pas.
Dans le tumulte ambiant, le Grand Triangle d’Eau constitue une base sur laquelle reconstruire autrement. Il s'agit de re-connecter la vitalité de l’enfant Mars Cancer avec la lucidité de Vénus Scorpion et ses intuitions sans faille, alliées à la solidité de Saturne rétro Poissons qui travaille à restructurer notre être au-delà du moi ordinaire...
… à condition de ne pas refouler le piquant de la douleur ou, tâchant de la contrôler, faire péter la bombe à la face de son prochain !!! (carrés de Mars et sesquicarré d’Uranus)
L'émotionnel qui tourne en boucle dans ce Grand Triangle comme dans une cocotte-minute doit trouver un exutoire pour s'exprimer pacifiquement. La soupape pour lâcher la pression étant le carré à Mars, quoique large, la violence verbale devra être canalisée. Une activité artistique est tout indiquée, en particulier poésie ou musique qui permettent de transcender les sentiments (Licorne Balance). Le stress dû aux déséquilibres relationnels ou au manque de beauté autour de soi peut aussi occasionner des brûlures d'estomac. (Mercure Balance carré Mars Cancer).
Au plan collectif, Mercure et la Licorne en sesqui-carré à Uranus Taureau nous obligent à un constat brutal : face au séisme que nous vivons ces derniers temps dans nos vies privées et le monde alentour, nous devons faire l'effort de nous positionner clairement et très concrètement par rapport à l'autre, pour suivre notre aspirations la plus haute et nous libérer des liens qui nous entravaient.
Allons-nous accepter encore longtemps d’être dirigés par de grand enfants dont l’immaturité affective est manifeste, voire pathologique ? Que ce soit dans notre pays, dans l'entreprise où l'on travaille, dans l'immeuble où l'on vit, et parfois en famille.
Et comment gérer le sentiment d’impuissance, à notre petite échelle ? La problématique est si enracinée dans les générations passées et s'est déployée avec une telle ampleur que le changement de paradigme paraît impossible. Tel est le questionnement lié à cette deuxième éclipse : trouver des résolutions à l'héritage karmique, et dès maintenant semer les graines pour se relier autrement.
Commençons par OSER rompre avec ce qui entame nos territoires intimes et qui pollue nos terres intérieures, tout ce qui porte atteinte à notre intégrité. Nous avons beaucoup trop cédé de terrain à autrui dans le but puéril d’être aimé, apprécié, conforté dans notre identité. (axe du Dragon Bélier/Balance)
Individuellement et collectivement, on a fait trop de concessions et depuis trop longtemps. Les compromis se sont transformés en compromissions. Pour la plupart, nous avons toléré de compromettre jusqu’à notre santé et celle de nos enfants au prétexte d’un virus qui servait d'obscurs intérêts, et je ne dis rien des dernières élections - pour ne parler que de la France.
Ma conviction est que le chemin de libération uranienne passe par une ré-harmonisation intérieure avant de pouvoir se manifester à l’extérieur - ce qui n'empêche pas l'action sur d'autres terrains évidemment. C'est un travail.
Ce travail individuel d'éveil, nous pouvons nous donner les moyens de l'accomplir, il suffit de le décider. Libre à nous de tendre à ce « plus grand que nous » qui gouverne réellement nos vies, et d'agir chacun à notre niveau, en conscience, avec humilité mais fièrement et obstinément, sans relâche, pour transformer en profondeur non seulement notre relation à nos contemporains, mais aux ancêtres de nos lignées, aux trois autres règnes de la Nature et aux plans subtils.
C’est ainsi que j'interprète le triangle des planètes trans-personnelles, chacune en fins de signes, qu’Uranus (le Grand Éveilleur) relie par un sesqui-carré à la Nouvelle Lune, augurant d'évènements inattendus : séismes ou rébellions, ruptures ou faillites, qui nous obligeront à faire le job d'une façon ou d'une autre.
Un mal pour un mieux, en quelque sorte.
Réapprendre à prendre soin de la relation à nous-même afin d’établir des relations saines et alignées avec autrui, passe forcément par un inconfort, éventuellement par une crise tangible dans nos vies ou un pépin de santé (Uranus Taureau). Collectivement aussi, bien sûr : guerres, tensions économiques, assassinats politiques ou catastrophe écologique : comme on le constate, on a l'embarras du choix.
C'est un engagement intime. L'éveil des consciences se déploie, lentement mais sûrement, dans toutes les générations. On prétend qu'à partir d'un certain seuil, une élévation massive du niveau de conscience de l'humanité serait susceptible de faire basculer les vieux pouvoirs sclérosés, ancrés dans le totalitarisme matérialiste qui élabore déjà "l'homme amélioré" et que Pluton s'emploie à saper par son ultime rétrogradation en Capricorne.
Je choisis de le croire et d'y contribuer à mon petit niveau. Avons-nous de meilleures alternatives ? Espérons seulement que nous ayons assez de temps pour inverser la vapeur et mettre en place le changement de paradigme avant qu'il ne soit trop tard...
Je cite une fois encore l'allégation de Don Juan à Carlos Castaneda dont j'ai fait mon credo : « La liberté a prix certain, mais ce prix est possible. »
Oui, la liberté d’aimer et de relationner sur la base de valeurs d'authenticité a un coût : celui de nos habitudes et d'un certain confort, de la notion de profit personnel et de traditions devenues obsolètes (ou prédatrices). Uranus Taureau secoue le cocotier depuis un bon moment et ce n'est pas fini.
Alors, persisterons-nous, tels de petits Sisyphes de bac à sable, dans l'illusion de panser les blessures inguérissables de notre enfant intérieur en espérant que la solution provienne de l'extérieur ? Ou entamerons-nous ce dialogue avec nos parts blessées qui demandent à être reconnues, entendues et accueillies ?
Telle est la question que pose urgemment cette Nouvelle Lune avec éclipse, et sans aucun ménagement.
En guise de conclusion, le degré Sabian peut être entendu en ce sens :
« Un professeur lorgne ses élèves par-dessus ses lunettes. »
Quel rapport avec ce prof ?! J'y vois le vieux sage en nous. Un savoir patiemment accumulé a usé autant nos yeux que notre esprit. Pour partager ce qu'on a appris, on doit être capable de sortir du mental pour se placer sur le plan de la relation à l’autre, avec humanité, et au travers de l’expérience directe.
Le travail en Vierge est derrière nous : c’était le job de la rétrogradation de Mercure cet été. On peut désormais quitter le domaine de la théorie et de l’analyse pour confronter, dans l'échange, ce que nous avons compris afin de le valider.
Cela me fait penser à l'attitude que Marshall Rosenberg, le père de la Communication Non Violente, appelait : "aller sur la colline de l’autre". On pourrait dire - pour filer la métaphore de Rudhyar : regarder le monde en chaussant les lunettes de l’autre. Ou encore, comme disent les Amérindiens : "marcher dans les mocassins de l'autre". Confronter notre savoir avec le point de vue d'autrui, sans pour autant perdre son identité dans la fusion : un équilibre de funambule qui convient bien à la Balance.
Certes il n’est jamais confortable de quitter ses points de repère, ne serait-ce que l’espace d’un instant : vu l’ambiance actuelle, on risque de se prendre une baffe, voire une balle ! Mais révéler sa propre humanité passe forcément par la rencontre avec autrui, et inversement. Nous sommes fondamentalement des êtres relationnels.
Je vous/te souhaite donc de belles rencontres avec cet autre à l’intérieur de vous/toi-même… et à l’extérieur !
Catherine PÉGUET
PS. Encore une fois, je n’ai pas analysé les maisons astrologiques afin que chacun puisse laisser résonner ce texte en fonction des planètes dans le domaine d’expérimentation concerné par son propre thème. En maison 7, ce sera par exemple avec votre partenaire de vie, en 10 dans le secteur socio-professionnel et en 5 peut-être avec vos enfants. Regardez en particulier dans quelles maisons tombent les 11è et 12è degrés Balance de l'amas Noeud Sud / Soleil / Lune / Lunes Noires/Mercure, le 12è Scorpion de Vénus et le 16è Cancer où se trouve Mars, ainsi que le 15è Poissons pour Saturne rétro : troisième point du Grand Triangle.

Illustration haut de page : Psautier latin dit de saint Louis et de Blanche de Castille. Enlumineur Maître de l'atelier de Blanche de Castille. 1225-1235.
Ci-dessus : Atalante fugitive, Michel Maier.
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