Le signe du Cancer parle de home sweet home, d’intimité et de douceur familiale. C’est ce regard attendri de môme que nous aimons à porter sur les choses et les êtres dans la tiédeur réconfortante des longues soirées d’été.
C’est le cocon rassurant dans lequel nous adorons nous lover : cet oeuf matriciel où l’on se sent protégé face aux brutalités du monde… avec le risque de rester coincé dans sa coquille, suffoquant d’émotions qui ne trouveront pas moyen de s’extérioriser.
La Lune et le Soleil y retrouvent Vénus pour cette Nouvelle Lune : le moment de semer des graines pour le cycle qui s’ouvre.
Le trio fait un trigone à Saturne, maître du Capricorne opposé au Cancer.
Saturne = l’énergie qui structure notre psyché. Le "père intérieur".
Il me faut d’abord évoquer sa rétrogradation qui a commencé il y a quelques jours, invitant à une plongée dans nos profondeurs. En Poissons, il est question d’installer une vision globale et sensible de nos systèmes internes pour les interroger avec opiniâtreté.
Réexaminer, revoir, réévaluer, réviser, refonder, restructurer.
Avec l'atmosphère aquatique du moment, liée au Cancer et aux Poissons, on peut se questionner sur la systémique familiale : les loyautés issues de notre enfance, les liens subtils qui nous relient aux ancêtres, la structure de l'arbre généalogique.
Une pyramide de ressentis (et de ressentiments) individuels, agglutinés, nous a engendré(e) pour que nous soyons ici et maintenant, incarné(e) dans ce monde. Mais elle nous retient dans un rôle bien défini, de peur que l’édifice ne s’effondre. Et ce, avec notre consentement tacite.
En Poissons, il est question de sacrifice. Quel est l’agneau offert sur l’autel de la famille ?!…
Dans l’ADN de nos cellules, dans la malléabilité de notre cerveau, dans nos représentations symboliques du monde, sont engrammées les mémoires de ce qu’ont vécu/subi nos ancêtres. Un océan d’émotions et de ressentis inconscients que nous avons l’opportunité d’évaluer, conscientiser et rectifier.
Restructurer la relation intime que l'on entretient dans l’invisible avec le trans-générationnel ("fantômes" psychiques) en surfant sur une vague d’inspiration cosmique qui propose de nous trans-porter pour explorer nos profondeurs mémorielles…
Concrètement : Quels sont les conditionnements qui dirigent encore ma vie "à l’insu de mon plein gré" ?! Des liens du passé m’engluent-ils dans des toiles de dépendance émotionnelle ?
Est-ce que, consciemment ou inconsciemment, j’entretiens une illusion qui m’arrange pour ne pas remettre en cause certaines loyautés - idéologiques, affectives, hiérarchiques ?
Tout ce qui influence subtilement nos fondements pourra être réévalué.
Avec Vénus, on questionnera bien sûr nos amours, mais aussi notre rapport à l’argent et ce que nos ascendants (sic !) nous ont inculqué comme "valeur-travail" (Saturne).
Comment nos relations affectives - au sens large - se nourrissent d'influences plus ou moins saines provenant d'un passé révolu.
Ce que nous sacrifions de nos ressentis pour plaire aux autres.
Damned ! Mes systèmes de valeurs - que je croyais si personnels - seraient-ils imprégnés de « non-moi » ?! Où prennent-ils leur source exactement ?
L’opposition à Cérès Capricorne, déesse nourricière, met le projecteur sur la problématique lunaire de "ce qui nourrit".
Dans quelle mesure la famille constitue-t-elle une protection nourricière ? Et à quel moment devient-elle un piège qui se nourrit de mon individualité ?
Comment est-ce que je vis la solitude (Capricorne) ? Suis-je capable d’auto-suffisance affective et émotionnelle ?
Bloemaert, Cornelis II (le Jeune) - Utrecht, vers 1603. © Petit Palais, Réunion des Musées Nationaux.
En Cancer, c’est également toute la question du narcissisme qui se pose.
Narcissisme sain, ou pathologique.
Est-ce que je me rassure à me contempler dans les yeux des personnes de mon clan ? Ai-je besoin de ce miroir pour vérifier que j’existe ? Ma bande de potes ? Mon parti politique ? Mon association favorite ?
Avec Saturne Poissons dans ce contexte lunaire, se pose la problématique du besoin archaïque de fusion avec les autres/l’autre. Tentation de l’amour fusionnel. Régression dans un utérus qui risque de devenir trop étroit.
Suis-je capable de rester moi-même lorsque je trouve refuge au sein de mon clan ?
Peut-être est-ce plus confortable de me noyer en bavardages et congratulations plutôt que me regarder dans le miroir pour m’accueillir tel(le) que je suis, hors formatage affectif.
Remettre en question l’édifice ainsi consolidé depuis des générations risque de provoquer une crise qu’on cherche à éviter - en vain. Tel est, me semble-t-il, le sens que prend le carré de la Nouvelle Lune à l’axe des Noeuds Lunaires.
Depuis plusieurs mois sur l’axe Bélier/Balance, les Noeuds Lunaires nous obligent à reconsidérer nos relations et, depuis peu, à installer concrètement une nouvelle posture pour nous affirmer en tant qu'individu (Noeud Nord Bélier gouverné par Mars Taureau).
L’aspect narcissique du Cancer apporte une autre nuance à ce questionnement : celle de la possibilité - ou pas - de l’altérité.
À me mirer ainsi dans les yeux d’autrui, suis-je en mesure de percevoir qui il est ? (Balance) Et, à force de compromis avec ma personne, que faire de l’image qui m'est renvoyée pour initier l'élan d'une énergie vitale neuve et personnelle ? (Bélier)
Suis-je seulement capable de me laisser toucher ?
L’initiation de Narcisse se joue dans cette prise de responsabilité. C'est une invitation à la connaissance de soi.
On sait combien le chemin ardu vers l’individuation peut entrer en contradiction avec l’appartenance au clan. Ces jours-ci, on est invité à observer comment se jouent les influences subtiles qui nous font par moments redevenir le petit enfant qui dit « amen » pour ne pas bousculer l’harmonie familiale, au risque de sacrifier tout un pan de notre personnalité.
Suis-je prêt à payer le prix de mon individualité « au nom de tous les miens » ?
Ou bien, est-ce que je prends responsabilité de ma verticalité en tant qu’individu, séparé du ventre originel ? Comment articuler une négociation avec l’arbre généalogique sans me renier ?
Concrètement : est-ce que les petits jeux d’influences - culpabilisations et autres manipulations affectives de type victimisation/sauvetage/harcèlement, y compris sur le mode passif-agressif - ont encore un impact sur moi ?
Les vacances en famille - si c’est le cas - seront une occasion d’observer en conscience ce qui se joue pour chacun au niveau de son enfant intérieur. Vous connaissez l’adage : « Si tu te crois éveillé, va donc passer une semaine dans ta famille !!! »
Le carré induit une tension. Il y aura sûrement des disputes, des conflits. Mais toute crise est salutaire, on le sait. À l'origine du mythe de Narcisse, il existe une blessure trans-générationnelle. Sans la crise réactivant cette mémoire de violence, il ne se passerait rien et jamais Narcisse ne se connaîtrait lui-même.
N’est-il pas temps de grandir et d’arrêter de se cacher derrière son petit doigt ? Abandonner l’illusion qu’il y aurait sur cette Terre un endroit sécurisé où l’on nous répèterait à quel point nous sommes beau, intelligent, performant et attachant ! Un endroit, du moins, où plus jamais on ne souffrirait de solitude...
Pourtant cet endroit existe bel et bien. Mais il se trouve à l’intérieur de nous.
Y demeurer relève de l'exploit pour l'humain ordinaire que nous sommes...
Le trigone d’Eau nous invite à connecter notre moi intime au Grand Tout en ces temps de tensions et de doutes. On n'a plus d'alternative tant on se sent fragile et démuni face à "l'adversité". Reconnaître notre vulnérabilité est un acte de courage.
Entrer dans sa caverne intérieure avec toute la délicatesse requise, se déchaussant avant de passer le seuil, faisant ses ablutions. Et s'incliner - de gré ou de force, de toute façon on n'a pas le choix - pour accueillir la honte que nous ressentons, l'humiliation que nous vivons, les déceptions qu’en apparence les autres nous causent.
Dans ce lieu de non violence, nous savons qu’il n’y a pas "d’autre" en vérité.
Les évènements nous mettent à terre et nous atterrent ? Tant mieux ! La Vie nous envoie exactement ce que nous avons besoin de travailler - nous sommes au courant, même si la plupart du temps nous ne voulons pas le savoir.
Parfois elle nous fait plier et mettre genou à terre (Saturne) pour casser nos rigidités et nos certitudes sclérosantes. Elle nous fait rougir, pleurer, vomir (Cancer). C'est pour nous remettre sur le chemin : l’axe du Noeud Nord Bélier qui nous demande collectivement d'initier un nouvel élan. Un nouveau cycle pour l'humanité.
Une série de sextiles reliant Pluton à Neptune, Saturne à Mars et Mars à Vénus, témoignant d’une belle coopération des énergies psychiques à l’oeuvre, risquerait de nous maintenir dans l’inertie confortable d’un déni de réalité s’il n’y avait ce carré déstabilisant pour nous forcer à bouger du hamac estival.
Affronter la crise actuelle, c’est remettre les pendules à l’heure (Saturne). Nous n’aurons pas trop des cinq mois de sa rétrogradation pour voir sur quelles illusions elle était fondée (Neptune a lui aussi démarré sa rétro en Poissons).
Le Noeud Nord Bélier au carré croissant de la Nouvelle Lune ne nous laisse pas le choix : pour être soi-même, pour être capable de s’affirmer, pour initier son propre chemin, il va falloir prendre ce virage à la corde.
Le symbole Sabian du 15è degré Cancer évoque des convives qui se détendent après un banquet gigantesque. Vu le contexte cataclysmique dans notre pays - et pas que -, l'incongruité de l'image orgiaque semble nous rappeler que l’abondance matérielle manifeste l’abondance spirituelle d’une communauté harmonieuse.
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut » : il ne tient qu'à nous de manifester à l'extérieur les effets de notre alchimie intérieure…
Pour dynamiser le thème et sortir de l'indolence lascive du Cancer, il y a aussi l’opposition de Mercure Lion à Pluton Verseau que je ne peux passer sous silence, au risque d’être un peu longue.
La période est électrique (Mercure) - je ne vous apprends rien. On peut se sentir perdu (Neptune rétrograde).
Voilà qu'on se retrouve exactement comme le Narcisse du mythe : à la poursuite d'un idéal qui ne lui correspond pas authentiquement, égaré dans la forêt loin de ses amis, avant qu’il ne découvre la source où se mirer pour mourir à de vieilles images de dépendance et de martyrologie régressives. Et se trans-former (traverser la forme lunaire du Cancer).
Certes, on a besoin de se regrouper pour se sentir moins paumé dans l’Histoire des Hommes et nos imbroglios intimes. Mais il serait judicieux de se replier dans son cocon perso pour réfléchir à la meilleure façon de communiquer ses analyses.
Les mots ont du pouvoir. (Mercure/Pluton)
Le verbe crée une intention, on le sait. Ceux qui nous gouvernent l'utilisent et pas seulement avec la "novlangue". Lorsqu'un chef d'état prononce les termes « risque de guerre civile », il induit une toxicité dans la tête de ses concitoyens : un poison mental qui tend à prendre le pouvoir sur notre pensée. Il va falloir trouver une riposte à ce vocabulaire de va-t’en-guerre si l’on veut éviter le pire. Chacun à notre échelle. Être créatifs, loyaux et généreux dans notre discours, à l'image de Mercure Lion. Reprendre notre pouvoir personnel.
Que nous apprend le bouleversement actuel ? À chacun de voir dans quelle maison de son thème natal Pluton "travaille" depuis l’an dernier.
La planète naine questionne symboliquement la notion du Pouvoir. Pluton dans son ultime rétrogradation vers le Capricorne - qu’il ne retrouvera pas avant 200 ans - nous force à démembrer les dernières fondations de nos institutions, tant collectives que privées.
Le Verseau, signe d'Air paradoxalement individualiste et humaniste à la fois, symbolise une énergie innovante - révolutionnaire, peut-on dire - où la planète la moins compatissante du Zodiaque va s’installer pour les 20 ans à venir. Gouverné par Uranus, son job est de "tout faire péter" pour régénérer le système, ni plus, ni moins. Forcément, on n'est pas zen. Qui le serait ?
Or en face, Mercure, notre petit mental curieux et communicatif, a envie de briller en Lion. C’est la part de nous qui cabotine en tête de manif ou qui refait le monde au Bar des Sports ! Mais il a besoin d’un public qui l’applaudisse. Que se passe-t-il lorsqu'il se retrouve dans sa chambre le soir, seul avec ses questionnements ?
L'atmosphère duelle du Cancer nous offre un choix. On peut se congratuler, se réchauffer et se "chauffer" les uns les autres dans une belle atmosphère de fraternité. On en a besoin pour ne pas céder à l'aspect "ombre" du trigone d'Eau : victimite et découragement... mais gare au repli communautariste.
Qu’on le veuille ou non, en face s'est levée une force implacable et radicale de transformation qui ne nous laissera pas indemne. C’est rude. Il va falloir mouiller le maillot. Affronter les monstres.
La fameuse "bête immonde"...
Comme disait cyniquement un addict au pouvoir qui a régi notre beau pays durant quelques années : « Vous voulez savoir à quoi je pense en me rasant le matin devant la glace ? » (Me coiffer ou me maquiller, les filles, ça marche aussi !)
En ce qui nous concerne, la question serait : quand vais-je arrêter de déléguer mon pouvoir personnel à des instances extérieures ?
À la famille d’où je viens, avec son système de croyances hiérarchisées que j’ai profondément intégrées ? À la mère-patrie, pour ceux qui se revendiquent "patriotes" ? À ma famille de coeur (politique, religieuse, amis d'enfance) dans laquelle je me reconnais ? À la famille que j’ai fondée et pour laquelle je trouve "naturel" de faire des sacrifices ? Toutes ces loyautés intimes que l'on transfère dans la sphère sociale.
Même si on se situe en réaction contre l’idéologie adverse, la révolte ne constitue jamais une pensée personnelle, une pensée libre (Verseau) : c’est encore le monstre qui donne la direction. L’écrevisse géante au fond du marigot est toujours aux commandes, avec sa force archaïque hypnotisante.
Reste à apprivoiser la bestiole pour qu'elle se transforme en allié. À cet endroit-là seulement, on a du pouvoir.
Le retour sur soi-même auquel nous invite ce mois de juillet imprégné des énergies Lune/Saturne (il y a deux Pleines Lunes Capricorne ce mois-ci = Soleil Cancer sous maîtrise lunaire, elle-même gouvernée par Saturne) nous met au pied du mur : allons-nous encore nous obstiner à voir « la paille dans l’oeil du voisin » ? Ou bien sortirons-nous du piège de la projection pour examiner ces parts répugnantes en nous-même ?
La haine qui nous ronge face à certaines personnes, c’est tellement plus cosy de la projeter sur l’ennemi plutôt que l’affronter en nous !
Le "haineux", c’est toujours l’autre…
Concernant l'absence de responsabilité (Saturne) dont chacun fait preuve, par faiblesse ou par lâcheté, c’est plus facile d’adresser des reproches au voisin qui ne trie pas ses déchets ou à l'autre qui a oublié son gosse à la sortie de l’école.
Mon mépris pour la mauvaise foi ou l’ignorance du politicien qui interprète l’Histoire à sa sauce, je peux le localiser en moi et examiner de quoi il est fait.
L'absence de conscience politique que je m’arroge le droit de juger du haut de mon militantisme de bon aloi : fait-elle écho à l'enfant apeuré au fond de moi, peut-être, ou à un vieillard qui n’en peut plus de ne rien comprendre du monde, ou encore un salarié éreinté par un "bullshit job", un agriculteur humilié par les banques ou une maman incapable d’assumer la culpabilité de la violence subie par ses mômes durant le Covid et qui se sent impuissante ?
Toutes ces parts se trouvent en nous, regardons-les en face et entrons en dialogue avec elles.
C’est seulement ainsi qu’on commencera à élaborer des solutions pour tenter d'éviter le pire. Pas en diabolisant "l’adversaire" - surnom du diable, justement !
Je ne sais pas vous, mais moi je ne peux plus écouter ces débats où chacun revendique "la Vérité" en accusant l’autre : mauvaise foi des accusations absurdes et justifications d'egos surdimentionnés. Je n'en peux plus de ces projections de nos ombres les uns sur les autres, et réciproquement. Alors que tous, nous sommes tellement paumés. Tous !
Et c’est une bonne nouvelle puisque sinon, nous irions droit dans le mur. Le sentiment d'insécurité (Lune) nous oblige à briser le moule de nos rigidités et de nos certitudes momifiées (Saturne).
L’émotionnel du Cancer négatif pourrait nous faire céder à la panique et aux jeux malsains où chacun veut avoir raison sur l’autre au prix d’une guerre de pouvoir. Défouloir stérile des réseaux sociaux. Mise en scène des plateaux télé. Prise de becs sur la terrasse à la fin du repas de famille.
On peut aussi commencer par nettoyer notre jardin intérieur. Affronter nos dragons et nos monstres : ces aspects de soi qu’on refuse de regarder dans le miroir d'un narcissisme intégré de façon ajustée.
Le jour où collectivement nous aurons compris ça, l'humanité aura passé un cap.
La Licorne vient d’entrer en Balance, faisant appel à notre besoin profond de concorde et d’harmonie. C'est notre "seul désir". Reconnaissons-le.
Un ami vient de poster sur FB une citation qui me semble tellement en adéquation avec mon ressenti de cette Pleine Lune que je ne vais pas épiloguer. Ce texte fut écrit durant l’Occupation par une étudiante juive hollandaise avant sa déportation à Auschwitz. Il se passe de commentaires au vu des circonstances internationales :
« Que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu'il croit devoir anéantir chez les autres. Et soyons bien convaincus que le moindre atome de haine que nous ajoutons à ce monde nous le rend plus inhospitalier qu'il ne l'est déjà. Je ne crois plus que nous puissions corriger quoi que ce soit dans le monde extérieur que nous n'ayons d'abord corrigé en nous. L’unique leçon de cette guerre est de nous avoir appris à chercher en nous-même et pas ailleurs. »
(Etty Hillesum - « Une vie bouleversée. Journal 1941-1943 »)
PS./ Vesta sera conjointe à Mercure en Lion : la déesse qui entretient le feu sacré du foyer, opportune en cette Nouvelle Lune Cancer.
N’oubliez pas d'exprimer vos voeux et n’hésitez pas à être créatif/ve lors de votre petit rituel.
Ce sera dans la nuit du 5 au 6 juillet, à 1 heure du matin en France métropolitaine.
Catherine PÉGUET
2 juillet 2024
(Haut de page : logiciel Olympia.)
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